Carnets d’humeur : trouvez la méthode de suivi qui vous correspond
Pourquoi suivre son humeur ?
- Détecter les déclencheurs (sommeil, environnement, interactions).
- Évaluer l’efficacité des traitements ou des outils d’autogestion.
- Communiquer plus précisément avec votre thérapeute ou médecin.
Gamme des méthodes
- Échelles numériques (1 à 10) – rapides, idéales pour tendances.
- Codes couleur/émoticônes – visuels, faciles à consulter.
- Listes de mots – enrichissent votre vocabulaire émotionnel.
- Bullet points – résument faits, émotions, comportements.
- Questions guidées – approfondissent l’analyse (Quoi ? Comment ? Pourquoi ?).
- Narration libre – journaling complet pour explorer les ressentis.
- Multi-tracking – humeur + sommeil + médicaments + événements.
Comment choisir ?
- Temps disponible : envie d’écrire ou besoin d’un suivi express ?
- Objectif : observer une maladie, comprendre un schéma relationnel, partager en thérapie.
- Supports préférés : papier, applications, tableur.
- Confort émotionnel : certains préfèrent des notes factuelles, d’autres un récit.
Exemples d’outils
- Carnet papier avec cases journalières.
- Applications (Daylio, Bearable, Moodnotes).
- Tableur Google ou Notion avec formules automatiques.
Bonnes pratiques
- Liez l’écriture à une routine (avant le coucher, après le déjeuner).
- Notez contexte, intensité et réaction (exercices, soutien, sommeil).
- Analysez chaque semaine pour détecter tendances et déclencheurs.
- Emportez le carnet aux rendez-vous médicaux pour un suivi précis.
Le meilleur carnet d’humeur est celui que vous utiliserez régulièrement. Testez plusieurs formats et adaptez-les à vos besoins.